Serait-il possible d’arrêter une grossesse en cours ?

Serait-il possible d’arrêter une grossesse en cours ?

Bien sûr qu’il en est possible, et il existe des dispositions légales auxquelles on pourrait faire appel. Premièrement, dans les pharmacies, on pourrait prendre la pilule de lendemain : une alternative qui est dédiée pour les accidents en cas de rapports sexuels non protégés.

Cette méthode est seulement efficace à quelques jours, ou plus précisément à 72 heures de près suite au retard du cycle menstruel. Il s’agit d’un avortement médical.
Il y a également d’autres médicaments dans le même genre qui pourront être plus efficaces, c’est-à-dire pouvant aller à quelques semaines au-delà du retard des règles comme le RU 486 accompagné d’un autre médicament. Enfin, en outre de ces méthodes médicamenteuses provoquant l’avortement, on pourrait également recourir à la chirurgie pour réaliser l’avortement.

On parle dans tous ces cas d’une Interruption Volontaire de la Grossesse. Il s’agit d’un cas permis en France et dans certains autres pays. Ce qui fait que le recours à toutes ces différentes manières est couvert par la Sécurité Sociale en France.

Quelle serait la manière la plus efficace entre la pilule et la pilule de lendemain ?

On devrait rectifier le terme : ce ne serait pas évident de demander la manière la plus efficace, car il serait bien de reconnaître la manière la plus saine qui présenterait moins de risque à l’organisme. Dans ce cas, il est conseillé de prendre la pilule normale régulièrement au lieu de recourir à la pilule du lendemain.

Seulement à un saut de 36 heures, la pilule normale présentera des risques, mais dans tous les cas la pilule du lendemain présente des risques d’échec jusqu’à 25%. Il en est également de la justesse du moment de la prise qui ne devrait pas dépasser les 72 heures sinon celle-ci n’aurait nullement d’effet.